Un conte de l’apocalypse
— Grand public
Texte ROBERT MARINIER
Mise en scène ANDRÉ PERRIER
Les climatosceptiques seront-ils un jour accusés de crime contre l’humanité ? Alors que l’environnement et les changements climatiques font les manchettes, le texte de Robert Marinier nous entraîne dans un régime vert totalitaire, le temps d’une expérience brechtienne teintée d’humour. Si la vie est une pièce de théâtre, chacun a un rôle à y jouer.
Dans un futur pas si lointain, de grandes inondations ravagent la planète. Des villes sont submergées, des routes sont détruites et les flots de migrants convergent vers les dernières terres arables. Au Canada, une faction extrémiste du Parti vert fait un coup d’État et condamne à mort tous ceux qui ont nié le réchauffement de la planète. Une rébellion se lève. Persuadé d’être dans une pièce de théâtre, Guy Coudonc reste imperméable à la catastrophe avant de devenir malgré lui le personnage principal de cette fable écologique.
Illustrant avec humour notre capacité d’aveuglement volontaire, Un conte de l’apocalypse interroge l’impact de nos actes sur l’équilibre de notre planète. Ce texte de Robert Marinier, qui a reçu en 2017 le prix du Nouvel-Ontario pour sa contribution au milieu des arts et de la culture franco-ontarienne, a été mis en scène par André Perrier et a marqué les quarante ans du Théâtre de la Vieille 17.
Une coproduction du THÉÂTRE DE LA VIEILLE 17 et du THÉÂTRE FRANÇAIS DU CENTRE NATIONAL DES ARTS
Texte Robert Marinier
Mise en scène ANDRÉ PERRIER
Assistance à la mise en scène et régie LINDSAY TREMBLAY
Conseils artistiques ESTHER BEAUCHEMIN
Scénographie JOHN DOUCET
Environnement sonore MARTIN DAWAGNE
Lumières GUILLAUME HOUËT
Costumes JUDITH DE BOER
Assistante aux costumes ERIKA LYNNE SCRIVENS
Vidéographe CHRISTOPHER PAYNE
Direction technique EMILIO SEBASTIAO
Avec ROCH CASTONGUAY, ALEXANDRE GAUTHIER, MAGALI LEMÈLE, ANDRÉE RAINVILLE, ANIE RICHER, LUC THÉRIAULT et la participation de JOSHUA CARROLL, VIRGINIE CHARLAND, EMMANUELLE GINGRAS, ZACKARI GOSSELIN, SOPHIE LEGAULT, MAXIM RACICOT-DOUCET et ARYANE ROBERGE (étudiants au Département de théâtre de l’Université d’Ottawa)