« Cette production est un petit bijou de poésie théâtrale. Il faut voir L’Homme Invisible avant qu’il ne disparaisse. »
LeDroit (Ottawa)
« […] Roch Castonguay (le franco) et Robert Marinier (l’anglo) donnent vie et ce, de manière spectaculaire, à ce récit pour une seule voix qui traduit parfaitement l’identité fracturée d’un homme déçu et amer. Le talentueux duo de comédiens maîtrise la langue de Desbiens et la fait résonner […] révélant au grand jour le choc des mots, des cultures et des sentiments. La mise en scène signée par Castonguay et Marinier – à laquelle ont participé Esther Beauchemin et Robert Bellefeuille – est d’une limpidité exemplaire. […] Les éclairages ingénieux et fort réussis de Michael Brunet apportent textures et ambiances à l’entreprise […] L’environnement sonore élaboré par le musicien Daniel Boivin […] ajoute à la cohérence de la démarche. […] »
Caroline Barrière, LeDroit (Ottawa)
« This is an internal drama that is exteriorised by means of magnificent images: verbal images and visual images. It all comes out through the multiple voices of a man who inhabits a world that rejects him. So what counts is the text and the way it is reinforced by all the techniques of the stage… lighting, sound, and of course actors… two actors performing a single human being… playing off each other, moving between English and French at breakneck speed. It was an amazing staging, and I loved it. »
Alvina Ruprecht, CBO Ottawa Morning
« […] Finalement, c’est un espèce de road movie ou de road poème, si on peut dire, ce spectacle-là parce que c’est son histoire qu’il raconte. Il nous raconte justement ce déplacement, toujours en quête de quelque chose. Un moment donné il dit : J’ai besoin d’une femme, j’ai besoin d’un pays …il a besoin d’être enraciné, il a besoin d’être vu, il a besoin d’être reconnu, d’où le titre cet homme invisible et, à un moment donné on dit : c’est une minorité audible, mais c’est aussi quelque chose d’invisible cette minorité qui n’est qu’audible et la force de ce spectacle est dans les mots de Patrice Desbiens mais dans le respect aussi qu’on a laissé toute place à ses mots avec deux comédiens extraordinaires qui ont vraiment compris cette dualité, mais l’humour aussi de Patrice Desbiens et l’incompréhension des gens autour, mais surtout l’incompréhension de cet être-là qui ne comprend pas où il doit être et quel est son pays; quelle est son identité finalement. […] »
Johanne Despins, C’est bien meilleur le matin, Première chaîne de Radio-Canada à Montréal
« […] Courez-y. Poétique, bruissant de vie, touchant, L’Homme invisible/The Invisible Man est un texte magnifique que le Théâtre de la Vieille 17 restitue dans une forme qui lui rend justice […] »
Jean St-Hilaire, Le Soleil (Québec)